Un acteur tout en nuances sous son aspect quelque peu trapu. Je me rappelle surtout de Philip Seymour Hoffman comme le chaleureux Comte barbu de Good Morning England et le laquais obséquieux de The Big Lebowski, sans oublier évidemment le fragile et fluet écrivain qu'il incarna au point de rafler toutes les récompenses cinématographiques connues. Quel dommage qu'au final les méfaits de la toxicomanie nous arrache un acteur à la carrière fulgurant : c'est là où le vernis craque, le masque tombe, et l'homme vrai ( true man ) capote.
D'ailleurs à ce propos, certains m'ont dit qu'il était plus reconnaissable imberbe, je me suis donc permis de vous donner également le brouillon qui a servi au dessin en couleur.
En fait, j'ai pas mal de célébrités qui ont récemment tiré leur révérence à rattraper. Nous avons également dit au revoir à Harold Ramis. Un membre de Ghosbuster parti rejoindre les fantômes ? Quand pléonasme rime avec ectoplasme.
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