Alors que le monde trépigne en attendant la future sortie de Jura-Suisse World, retournons à l'aube des temps, aux sources de la trilogie des reptiles à vision basée sur le mouvement et aux tremblottis angoissants des verres d'eau. L'ajout d'un nouveau volume dans la saga prouve que "le fric trouve toujours un chemin", comme dirait le paléontologue Alan Grant, interprété tout en finesse par Sam Neill. Ce dernier serait le premier à s'indigner de l'absence de ramage sur les sauriens du quatrième opus, lui qui insistait tellement sur la parenté entre dinos et zoziaux. (Quoique ça ne veuille pas dire qu'ils doivent forcément ressembler à des grosses dindes.)
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